Un de ses lavis colorés, qu’il intitule « Sur l’autre rive du temps », mêle étrangement force et douceur, explose littéralement de couleurs raffinées à l’extrême. Chaque détail pourrait en être agrandi tant cette petite œuvre est toute de monumentalité.
Émile LANC
LE MENSUEL LITTERAIRE ET POETIQUE, n°149, octobre 1985
Géographies sensibles
Les encres de Chine et lavis, les aquarelles de Thierry de Villers explorent aussi une sorte de géographie sensible. Le phénomène d’abstraction ici demeure en relation avec les rythmes, les éclosions et les érosions de la nature. […]
Sur la fenêtre du papier, sans cesse, de Villers « réécrit sa lettre à la vie ».
Jo DUSTIN
LE DRAPEAU ROUGE, 1/10/1985