Le chant nuancé des couleurs
Paysages intérieurs, au lyrisme raffiné qui scandent des rythmes terriens, célestes. […] On pourrait décrire davantage. Mais les mots ne peuvent traduire tous les émois du regard.
Et l’on dit simplement : de Villers, quel coloriste !
Jo DUSTIN
LE SOIR, 2/12/1991
Paysages intérieurs
De veine lyrique, son chant chromatique s’articule sur cette contemplation inlassable des signes de vie enclos dans les affirmations saisonnières de ses paysages, devenus avec le temps, de plus en plus intérieurs. […]
Cette peinture-là est aérienne, brise légère et volupté enchantée. […]
Il y a une telle sérénité dans cette production essentiellement intimiste, qu’un visiteur sensible se plaira à y décrypter le visage et la main de l’homme qui, en toute liberté, a parfait son parcours, à raison de huit heures de labeur quotidien. Pour le seul plaisir de peindre, et donc de vivre.
Roger Pierre TURINE
LA LIBRE BELGIQUE, 4/12/1991